La Vénus à la fourrure

de Leopold von Sacher-Masoch, adaptation, mise en scène et scénographie Christine Letailleur

du 21 janvier au 22 février 2009 au Petit Théâtre

Pièce majeure de l’oeuvre de Sacher-Masoch, rédigée en 1862, achevée en 1870, La Vénus à la fourrure fait partie du premier volume du Legs de Caïn et s’inscrit dans le cycle de l’Amour.

Leopold von Sacher-Masoch

La Vénus à la fourrure commence par un rêve : Vénus, la déesse de l’amour, visite l’ami de Séverin. la sublime créature, emmitouflée dans une sombre fourrure, lui fait une étrange révélation : « vous appelez cruauté, ce qui fait l’élément propre de la sensualité et de l’amour pur, la vraie nature de la femme : se donner où l’on aime et aimer tout ce qui plaît. […] vous autres, gens du nord, prenez l’amour beaucoup trop au sérieux. vous parlez de devoir où il ne devrait être question que de plaisir. » l’homme, troublé par ce rêve, s’empresse de le raconter à Séverin. ce dernier lui confie alors un manuscrit intitulé : Confessions d’un suprasensuel dont il est lui-même le héros. L’ami découvre les premiers amours sensuels de Séverin : par une nuit de pleine lune, alors qu’il pleurait aux pieds d’une statue de pierre
dont il était amoureux, Séverin rencontre une jeune veuve, Wanda von Dunajew. subjugué par sa personnalité hors du commun et persuadé qu’elle peut incarner son idéal féminin, Séverin imagine un contrat dans lequel il s’engage à se soumettre aux désirs et aux volontés de sa maîtresse…

équipe artistique

de Leopold von Sacher-Masoch 

adaptation, mise en scène et scénographie Christine Letailleur 

texte français Aude Willm 

assistant mise en scène Pier Lamandé 

lumière Stéphane Colin 

son Manu Léonard

fabrication des costumes Atelier Caraco 

avec Maëlle Bellec, Philippe Cherdel, Andrzej Deskur, Dimitri Koundourakis, Valérie Lang

Photo © Brigitte Enguerand
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production

Théâtre National de Bretagne-Rennes, Théâtre National de la Colline, Compagnie Fabrik Théâtre, Arcadi

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